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13 avril 2023 4 13 /04 /avril /2023 06:50

...sortit à seize heure cinquante cinq minutes marmonnant :"Décidément mon ethos fout le camp".

Marmonnant ou chantonnant?

 

 

Crétin, non?

Et zou!

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24 novembre 2018 6 24 /11 /novembre /2018 09:57

ou plutot

Voici pourquoi je n'écrirai jamais

Eh oui! Belle lectrice, riez, riez tant que voudrez! Cette tentative d'article en plusieurs épisodes illustre assez bien ce que je ne cesse de répéter depuis que je vous connais, ce qui fait ici-même l'objet d'une rubrique qui tant vous fait, Belle Lectrice, rire : Voici pourquoi je n'écrirai jamais.

Petite pause hors sujet--mais nous ne sommes pas à une petite digression près,n'est-ce pas?-- pour vous présenter  ...

...ma Belle Lectrice telle que je l'imagine

...ma Belle Lectrice telle que je l'imagine

Mon projet initial commençait ainsi:

Le 15 Octobre dernier, dans le TGVOUI--ou le OUITGV, je ne sais plus et cela est de nulle importance--avec à notre droite un jeune couple uniquement occupé de son bébé face à deux hommes "entre deux âges" plongés l'un dans son bouquin, l'autre dans la résolution d'une grille de mots croisés, face à nous une jeune femme munie d'un magazine people et d'un portable qu'elle consultait à chaque instant, nous rentrions de Paris où nous venions de séjourner une semaine.

À notre précédent retour de la ville capitale--trois ans déjà--j'étais en plein dans La Route des Flandres; cette année, c'est La Marche de Radetzky que les roues du train auraient pu scander pour moi.

Cela aurait fait un truc comme Lalala__Lalala__Lalala__la_la... si j'avais connu alors la musique éponyme du bouquin que je lisais.

Passons...

Passons pour retourner tout de go, si vous le permettez, deux semaines en arrière.

Retournons donc ...

Hélas! Ce retour en arrière qui devait être traités en quelques lignes pour vous dire que nous rentrions de Paris et non de Bruges comme prévu qui, comme toujours et comme vous l'avez déjà probablement observé, s'est transformé en...

...en ce que vous avez lu dans mes précédents articles si vous avez eu la patience de me lire.

BREF!

Mon projet initial qui était de vous parler du roman de Joseph Roth est tombé carrément à l'eau.

Comm d'hab diraient certains.

Pour la musique éponyme du roman dont je ne vous parlerai pas, cliquer ici.

Vous avez entendu?

Lalala_Lalala_Lalala_La_La...

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9 novembre 2018 5 09 /11 /novembre /2018 18:04

ou

Où l'auteur répond à deux questions en commençant par la dernière et espère en terminer avec les articles Lalala_etc...

Précédemment, le personnage qui commente parfois mes articles sous le pseudo "un peu de sérieux messieurs"--Oui!Je sais! Certains pseudos sont "astap"--s'interrogeait et m'interrogeait sur la pertinence du titre Lalala_Lalala_Lalala_La_La.

Bonne question!

Je me garderai d'ajouter "Je suis content que vous me l'ayez posée" car il y a une limite à l'utilisation abusive de procédés dilatoires, usés jusqu'à la corde de surcroit.

Trêve de billevesées! Revenons à notre titre dont le rapport avec le sujet ne saute effectivement pas nécessairement aux yeux d'un lecteur distrait, ni même à y bien réfléchir aux yeux d'un lecteur plus attentif...

Passons.

Le lecteur très attentif ou plutôt la lectrice très attentive--ma Belle Lectrice pourra se reconnaitre ici--n'aura pas manqué  les tous premiers paragraphes du premier épisode Lalala_etc : on peut les relire en cliquant ici.

 

 

 

 

Elle aura plus précisément remarqué ce passage :

 

 

À notre précédent retour de la ville capitale--trois ans déjà--j'étais en plein dans La Route des Flandres; cette année, c'est La Marche de Radetzky que les roues du train auraient pu scander pour moi.

Cela aurait fait un truc comme Lalala__Lalala__Lalala__la_la... si j'avais connu alors la musique éponyme du bouquin que je lisais.

Ma Belle Lectrice qui connait évidemment La Marche de Radetzky, celle de Joseph Roth comme celle de Johann Strauss père, à la lecture de ce passage   a entendu forcément la musique évoquée et donc compris la raison du choix du titre.

Il n’empêche qu'elle  peut se poser la question:"Mais pourquoi s'obstiner à conserver ce titre après avoir  bifurqué vers la relation des causes de l'abandon de son projet initial de voyage?"

Évidemment! Bien sûr!

J'aurais du titrer,par exemple

Un séjour raté à Bruges

     ou peut-être

Un changement de programme

Ce serait plus logique assurément!

Mais j'avais en tête de relater, pour une fois  sans trop de digressions inutiles--Pourquoi inutiles d'ailleurs?--nos problèmes avec l'acheminement des bagages, problèmes dont je suis seul responsable, ayant hésité pendant au moins deux mois sur le but de notre voyage, successivement Angers, Rouen, Vigo, Santander, pour finalement opter pour Bruges mais trop tard...

MAIS

Mais je cause, je cause, je ne vois pas les lignes s'accumuler...

La fin pour une autre fois?

Peut-être!

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2 février 2018 5 02 /02 /février /2018 10:41

...cahin-caha...

 

Pourquoi diantre cette rengaine qui a bercé mon enfance,  par mon grand-père à M. ou par les"chanteurs" du  café de ma grand-mère de C. le Samedi soir, me trotte-t-elle dans la tête ces jours derniers?

Le casino de Barbazan, œuvre peu connue de Pierre Benoit, dégotée dans un vide-grenier, plus précisément celui du lac de Lenclas qui nous avait arrêtés dans une de nos sorties sur la Rigole de la plaine, bouquin que je n'aurais jamais acheté, jamais lu--et je n'y aurais rien perdu, croyez-moi!-- si je n'avais connu de si près Barbazan--un peu moins son casino--

L'Iliade, ma lecture en cours, qui me découvre une fois encore les bizarreries de la mémoire...

L'histoire des palestiniens...

La poursuite de la casse généralisée par le gouvernement Macron: Droit du Travail, Enseignement Secondaire, Fonction Publique...(J'en oublie forcément)

 

Quand l'arrêterons-nous?

Va! chemine
Va! trottine
Va! petit âne,
Va! de ci, de là
Cahin, caha
Le picotin
Te récompensera.

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27 septembre 2017 3 27 /09 /septembre /2017 14:38

La fin des tournesols…

Le champ du bas, au pied de notre colline, qui  faisait partie des retardataires  repérés sur notre itinéraire favori entre Sainte Félicie et  ce point de la Rigole où nous avons nos habitudes reste le dernier à attendre la moisson.

Fin des tournesols donc. Viendra bientôt le tour des sorghos. Vous ai-je déjà dit que les champs de colza ont été beaucoup moins nombreux cette année que d’habitude dans notre secteur ?

En revanche, un peu plus de blé m’a-t-il semblé…

En parlant de sorgho…

L’autre jour, longeant un champ du côté de Revel, je déclamais intérieurement dans une semi-inconscience:

« Comme un champ de sorgho sur le sentier rural… »

 

Si vous êtes au moins septuagénaire, vous aurez reconnu un démarquage incongru d'un alexandrin   d’Heredia . Pour les autres, précisons la citation:

Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal,
Fatigués de porter leurs misères hautaines,
De Palos de Moguer, routiers et capitaines
Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal.

Ils allaient conquérir le fabuleux métal
Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines,
Et les vents alizés inclinaient leurs antennes
Aux bords mystérieux du monde Occidental.

Chaque soir, espérant des lendemains épiques,
L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques
Enchantait leur sommeil d'un mirage doré ;

Ou penchés à l'avant des blanches caravelles,
Ils regardaient monter en un ciel ignoré
Du fond de l'Océan des étoiles nouvelles.

Je dis septuagénaire parce que je pense qu’il y a belle lurette que l’on ne récite plus Heredia dans les écoles primaires, ni dans les collèges d’ailleurs. Faut-il s’en plaindre ? Va savoir…

C’est en tout cas un ver qui a fortement marqué ma mémoire au même titre que « Maitre corbeau sur un arbre perché… » ou « La raison du plus fort est toujours la meilleure… » ou encore « Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie !... » et quelques autres parmi lesquels « Rome ! Unique objet de mon ressentiment !... » n’est pas des moindres, des vers qui ressurgissent souvent dans mes rêves éveillés avec des modifications saugrenues comme celle-ci qui revient souvent :

« Comme un vol de corbeau sur le chantier naval… »

Ou celle-là :

« Comme un col de sureau sur le soulier fatal… »

Que diriez-vous de

« Comme un bol de sirop sur le dentier papal… »

Mais on sonne à ma porte. Walter probablement. Je cours ouvrir….

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16 juillet 2017 7 16 /07 /juillet /2017 06:17

Je donnais récemment, à propos d’adaptations de romans au cinéma un extrait des Mémoires de Maigret, ouvrage dont je tiens à recommander la lecture à tous ceux qui croient tout connaitre de Simenon, ouvrage qui tiendra parfaitement sa place dans votre bibliothèque entre les Œuvres complètes de Sainte-Beuve et le Sur Racine de Barthes

Maigret—Simenon, si vous préférez—poursuit en ces termes :

« Eh bien! De tous ceux-là… »

(Rappelons qu’il vient de nous parler des acteurs l’ayant incarné à l’écran avant 1950)

Eh bien! De tous ceux-là, il y en a au moins un qui a eu le goût de tricher avec Simenon et de trouver que ma vérité valait mieux que la sienne.
C’est Pierre Renoir, qui ne s’est pas vissé un chapeau melon sur la tête, mais qui a arboré un chapeau mou tout ordinaire, des vêtements comme en porte n’importe quel fonctionnaire qu’il soit ou non de la police.

On ne s’étonne pas de devenir un homme, puis un vieillard. Mais qu’un homme coupe simplement les pointes de ses moustaches et il ne se reconnait pas lui-même.

Et nous voilà revenus aux moustaches d’Hercule

 

D’accord ! Le rapprochement entre la remarque d’Agatha Christie et le texte de Simenon est tiré par les cheveux, mais ce n’était qu’une association d’idées comme on peut en avoir puis, comme souvent, on compare, on « met en rôle », on constate que ce ne sont que « chimères et monstres fantasques » ou plutôt sornettes et billevesées, interprétation hâtive et erronée ne résistant pas à l’analyse…

 

Si Agatha Christie parlant de la banalité de la moustache du Poirot incarné par Albert Finney n’exprimait rien d’autre que la déception devant le décalage entre ce que l’on avait imaginé et ce que l’on vous impose à l’écran—je gage d’ailleurs qu’elle n’avait pas plus d’idée que moi de ce que pouvait être la « véritable » moustache d’Hercule--, le Maigret de Simenon qui nous explique en le déplorant comment l’auteur Simenon a créé « le personnage Maigret » en déformant, en simplifiant « le Maigret réel », en le faisant « plus réel que nature »…

Ce qui précède a été écrit il y a trois jours.

Me relisant, je me dis qu’encore une fois, coupant les cheveux en quatre comme disait ma grand-mère, j’ai  perdu de vue mon but initial ce qui pourrait me faire classer cet article dans la rubrique Voici pourquoi… qui tant vous fait, Belle Lectrice, rire !

 

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15 mars 2017 3 15 /03 /mars /2017 11:51

Je sais…

Je n’oublie pas que nous sommes en Septembre 89 et sur le seuil de la « fermette dans son jus » selon les termes de l’annonce lue la veille dans PUBLI-TOULOUSE.

 

Je sais, mais…

Hier soir, nous avons eu la visite de Madeleine F.

Madeleine fut la première personne qui frappa à notre porte quelque mois après notre installation.

Unique employée communale, elle faisait office de garde-champêtre et c’est à ce titre qu’elle venait nous faire remplir un formulaire pour le recensement.

Elle fut et est restée la seule « authentique habitante » de Sainte Félicie avec qui nous ayons quelques relations.

 

C’est une recette depuis longtemps promise à Zoé qu’elle apportait hier.

Nous avons bavardé. Nous avons proposé l’apéritif. Plus personne ne l’attendant chez elle, la soirée s’est prolongée.

Madeleine nous a conté une curieuse histoire, curieuse parce qu’il s’agirait d’un conte dit par sa grand-mère, conte si éloigné de ceux que les grands-mères racontaient autrefois que je pense que, si Madeleine ne s’est pas moquée de nous, sa grand-mère était une bien étrange personne…

Ecoutons Madeleine :

Quand nous étions petits, nous adorions, le soir, entendre les histoires de ma grand-mère. Il faut dire qu’en ce temps-là, la télé existait peut-être, mais elle n’arrivait pas ici et nous faisions encore des veillées. Mais vous avez peut-être connu ça, vous aussi…

Un soir, elle nous a raconté ceci :

Il était une fois, au temps où les poules avaient des dents, un Roi, un Roi très puissant, qui régnait dans un royaume dont on a perdu le nom…

(Les contes de ma grand-mère commençaient presque toujours comme ça et nous récitions avec elle

«au temps où les poules avaient des dents, un Roi, un Roi très puissant, qui régnait dans un royaume dont on a perdu le nom… »)

Ce Roi aurait pu être très heureux s’il ne lui avait manqué une chose, une seule chose, la seule chose qu’il désirait vraiment obtenir : un fils ! La Reine lui avait donné 250 filles et pas un seul garçon.
On consulta le ban et l’arrière-ban de tout ce qui dans le royaume avait quelque lumière sur la fabrication des garçons, on fit ci, on fit ça, on prit les eaux de L. fort réputées dans le royaume, le Reine alla consulter seule et dans le plus grand secret tout ce qui avait quelque notoriété dans le monde des Sciences ou de la Religion…

Rien n’y faisait ! La Reine continuait de faire des filles ! C’était lassant…

On fit appel aux plus habiles chirurgiens qui tentèrent de transformer les filles en garçons…

C’est alors que mon cousin Nicolas, de nous tous le plus fort en calcul, a levé le doigt comme à l’école pour dire «Cette histoire ne tient pas debout ! Si la Reine a eu 250 filles, à 9 mois par tête, ça nous fait 2250 mois, soit plus de 182 ans.»

Mémé lui a répondu :

« Un, c’est un conte !

Deux, c’était au temps où les poules avaient des dents !

Trois, c’est dans un pays dont on a perdu le nom !

Quatre, si tu avais lu l’Ancien Testament et Grégoire de Tours, tu saurais que ce n’est pas impossible

Cinq, Si tu es si malin, tu peux terminer tout seul cette histoire »

 

Et elle est sortie en claquant la porte et elle n’a plus jamais raconté d’histoire en présence du petit Nicolas.

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12 mars 2017 7 12 /03 /mars /2017 10:54

En rangeant mon bois de chauffage en 30cm, j'échafaudais ce matin en pensée un projet d'article que j'aurais intitulé Premier contact...(suite 4) et qui aurait parlé pêle-mêle du ciel d'hier matin, bleu ciel avec des nuages légers qui paraissaient peints--on notera que je manie les images avec une légèreté éléphantesque(et l'oxymore pas mieux!) qui vaudra peut-être à cet article-ci de figurer à la rubrique Voici pourquoi... que vous connaissez bien--, du ciel gris de ce matin, de la corvée de bois en cours, d'une discussion politique avec Coraline...

Ne me demandez pas quel tour de passe-passe m'aurait ramené à ce jour de Septembre 1989 où nous avons visité la fermette qui nous  appartiendrait cinq mois plus tard.

Revenu à mon PC, je trouve cet article dont je me permets de vous conseiller la lecture.

Pour conclure :

Ni dieu, ni maitre, à bas la calotte, vive la sociale!

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7 mars 2017 2 07 /03 /mars /2017 10:00

C’est toujours la même chose.

On a un plan, un projet ; par exemple, ayant décidé de reprendre les choses au début, vous aviez décidé de raconter la première visite à ce qui allait devenir votre demeure et même, en anticipant un peu, votre dernière demeure, et voilà qu’un imprévu, un truc qui vous passe par la tête, un événement familial ou même l’actualité s’impose à vous et vous voilà parti sur quelque autre sujet…

C’est ce qui est en train de m’arriver parce que, ayant courageusement affronté les intempéries ce matin pour aller me débarrasser de quelques recyclables, j’ai rencontré deux autres braves, Walter et Jean-Jacques, plongés dans une discussion sur le dernier rebondissement de l’affaire qui a phagocyté la campagne présidentielle ces derniers temps…

Je me suis joins à eux et, évidemment, me voilà devenu incapable de vous parler d’autre chose que de nos échanges sur l’Affaire Fillon

…ce que je ferai probablement demain…

…si toutefois quelque nouveau sujet ne vient pas s’imposer inopportunément.

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14 février 2017 2 14 /02 /février /2017 10:56

Rappel :

L’incinération de Jean-Paul aura lieu Jeudi 16 Février à 15H30.

Le crématorium de Cornebarrieu étant saturé, ce sera à Albi.

C’est toujours la même chose.

Je commence une chronique avec, au moins dans ma tête, un projet précis, un plan, des idées.

Je commence donc et …

PATATRAS !

Un événement quelconque me lance sur une autre piste…

J’avais donc commencé à parler de Sainte Félicie

 

J’avais commencé à parler du Lauragais, de ses cours d’eau, de ses collines…

 

J’allais continuer avec le vent d’autan dont nous venons précisément de subir pendant plus de deux jours un épisode particulièrement violent et qui s’est enfin calmé ce matin….

 

Plus tard, vous auriez rencontré mes voisins, Coraline et Jean-Claude qui ne sont pas tout à fait des inconnus pour vous et aussi Walter, Jean-Michel, Jean-Pierre et Isabelle, Jean-Paul, Jean-Christophe et les autres…

PATATRAS !

L’annonce soudaine de la mort de Jean-Paul vient chambouler mon programme…

 

Mes personnages veulent arriver plus tôt que prévu. Ça se presse ! Ça se bouscule…

 

Ça se bouscule peut-être un peu trop, ce qui risque de placer ce misérable article, ô Incomparable Lectrice, dans cette catégorie qui tant vous amuse « Voici pourquoi…etc… »

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