...difficiles, ...
...peut-être pour oublier la déprimante conjoncture politique,...
...pour oublier ce monde qui fuit de partout,...
...peut-être simplement parce que c'est ainsi que j'ai toujours vécu...
...ces jours-ci, je lis.
Dans la bibliothèque des toilettes sous l'escalier--Vous savez bien! J'en ai parlé déjà ici! et ICI et encore LÀ!--, je lis la correspondance de Flaubert et de George Sand.
Tiens! Flaubert a fait un séjour à Luchon en Juin 1972 1872--il dit Bagnères de Luchon mais Sand dit Luchon comme les indigènes-- Il ne semble pas emballé. Trop bourgeois semble-t-il. C'était le temps où les stations thermales des Pyrénées étaient chic...
Le soir, je m'endors sur La Grande Bonace des Antilles, un recueil de nouvelles de Calvino que je n'avais pas ouvert depuis longtemps ...
Dans la journée, affalé sur le grand canapé de "l'étable", Saint-Simon.
Hier, je lisais le passage où il incite le Duc d'Orléans à rompre avec Madame d'Argenton pour rentrer en grâce auprès de Louis XIV. Quelque peu "mytho" le bonhomme me semble-t-il... (Je parle de Saint-Simon, vous l'aurez compris)
Cette semaine, j'ai alterné cette lecture avec celle d'un bouquin trouvé au rayon librairie de mon supermarché, le seul titre qui m'ait paru digne d'intérêt, La Fabrique du Président de Cecile Amar.
Lecture très recommandable.
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