Mère Charlotte partie.
Épuisés...
Dernièrement que je me retirai chez moi, délibéré autant que je pourrai, ne me mêler d'autre chose que de passer en repos et à part ce peu qui me reste de vie, il me semblait ne pouvoir faire plus grande faveur à mon esprit, que de le laisser en pleine oisiveté, s'entretenir soi-même, et s'arrêter et se rasseoir en soi : ce que j'espérais qu'il peut meshui faire plus aisément, devenu avec le temps plus pesant et plus mûr.
Mère Charlotte partie.
Épuisés...
Aujourd'hui est blanc.
Cette semaine, nous recevons la mère de Charlotte.
Nous espérons n'avoir pas de Rouge.
Nous faisions tout à l'heure un peu de rangement et je suis tombé sur cette note de Zoé qui recopie un article fort intéressant de Deleuze .
Par ma seule faute, me voici avec des obligations par-dessus la tête.
Je cours à gauche, je cours à droite, je monte, je descend, je grimpe, si je le pouvais je volerais, je garnis les poêles, je rentre du bois, je range du bois dans le bucher...puis je recommence...
C'est ROUGE depuis Lundi
Tout cela pour vous dire que je n'ai le temps de rien!
Allez savoir pourquoi, ce titre Elle l'appelait Baruch s'impose tout à coup à moi "comme une évidence"--"comme une évidence" comme tout le monde dit de nos jours ...
Reste à savoir ce que je pourrais écrire sous ce titre "pointu"--"pointu" comme tout le monde dit de nos jours...
"Pourquoi traines-tu chez Assouline?" interroge Charlotte.
Réponse : Pour les commentaires évidemment /
Par contre, chez Edel, c'est l'article qui m'intéresse.
Tenez! Celui-ci, par exemple .
Cliquer ICI .
D'une façon générale, le blog "Les érogénèses d'Eugène" est fort recommandable...
À lire : cliquer ici.