Faire valoir son scepticisme devant le « Front Républicain » au second tour n’est pas une mince affaire ; disons-le clairement, c’est impossible ; j’en ai eu la démonstration il y a peu. Les copains sont depuis revenus bien sûr, mais tout le monde évite d’en reparler car, même si la plupart—tous devrais-je dire—sont mécontents du nouveau gouvernement, ils n’admettront jamais l’avoir cautionné en votant Macron. Je ne parle pas même pas de ceux qui ont voté « utile » en le choisissant, contre leurs convictions, dès le premier tour.
Un autre sujet de conversation que je préfère éviter : le cas Hulot.
Mon opinion sur lui n’a pas varié depuis l’époque USHUAIA-le temps de l’hélicologiste comme l’avaient surnommé quelques-uns- : un m’as-tu-vu et un opportuniste ; nada mas.
Mais il y a encore bien des illusions….
Coraline, ce matin, me confiait ses « sentiments contradictoires » ; elle est de ceux qui croient à la « sincérité » du bonhomme. Pourquoi pas, après tout ?
Par contre, tous sont d’accord pour s’indigner ou s’esbaudir de l’attitude de Valls.
Manuel Valls, el caudillito comme disait je ne sais plus qui, est devenu un sujet consensuel.